En cette matinée du 19 août 2008, après la lecture d’un article local paru dans un célèbre quotidien régional, je me suis rendu compte à quel point il était dur pour un jeune parti d’exister médiatiquement dés lors que son existence n’est pas soumise aux nombreux lobbies financiers qui dirigent ce monde ultra-libéral.
Ainsi, y sont relatés pêle mêle, le PS et ses baronnets, l’UMP avec nos Caïn et Abel locaux, le PCF en éternel « faire valoir ». Le FN et l’Alliance Républicaine, bien que pas nommés, y apparaissent fortement en filigrane. Mais de DLR, pas l’ombre d’une trace. Pourtant dans la partie « B comme Blog » nous aurions au moins mérité d’être cité comme nouveau parti local de droite émergeant dans la 14éme circonscription ! Eh bien non ! On préfère taire notre implantation qui dérange tous l’ « établishement » comme disent nos voisins d’outre-Manche.
Il est vrai qu’un parti qui défend l’indépendance nationale face aux diktats permanent d’une Union Européenne aux ordres des grands groupes financiers, ce n’est pas dans l’air du temps. Cela l’est d’autant moins lorsque l’on sait que ce journal, dont la ligne éditoriale devient de plus en plus ultra-libérale, est lui même soumis à un grand groupe financier international qui n’a que faire des valeurs de DLR. C’est en cela que DLR dérange. Un parti qui se réfère aux valeurs de
la République (droits de l’homme, liberté, égalité, fraternité, laïcité, unicité…) et défend la souveraineté nationale face aux assauts répétés de la « mondialisation », ne saurait être du goût de ces financiers, et par ricochet, du goût de la direction de ce journal. Il y a beau avoir de belles « plumes » dans cette rédaction, elles ne seront toujours trempées que dans l’encre de la soumission aux groupes financiers et à leurs partis politiques dévoués.
PW